« Magna a lancé le coup d’envoi de ces programmes », déclare S. Tarasenko. « Je les ai poursuivis toute seule lorsque nous avons commencé à télétravailler. J’ai perdu 13 kg pendant le confinement et je profite des pauses pour faire des flexions sur jambes à mon bureau. »
« Je fais également de la musculation », poursuit S. Tarasenko, soulevant un haltère de 4 kg au cours d’un appel Microsoft Teams pour illustrer son engagement à faire de l’exercice comme un moyen de lutter contre le stress.
Comme tant d’autres personnes confrontées aux défis émotionnels liés à l’incertitude et à la peur générées par une pandémie qui a limité nos mouvements et bouleversé notre routine, S. Tarasenko a réalisé qu’elle avait besoin d’un soutien supplémentaire allant au-delà de son régime et de la musculation.
La mère de Lucas (4 ans) et de Riley (1 an) a dû s’habituer à travailler à la table de la salle à manger plutôt qu’au bureau une grande partie du temps. La crèche des enfants a fermé et ses beaux-parents sont venus garder les petits pendant qu’elle travaillait, ce qui n’a pas été sans la distraire. Son mari Dan, qui est comptable, a partagé cet espace de travail très animé au début du confinement.
SARA TARASENKO, Gestionnaire de paie chez Magna, avec sa famille
« C’était très stressant », se souvient-elle. « Mais j’ai eu la chance de pouvoir bénéficier de séances de thérapie par téléphone en m’installant dans ma voiture devant la maison. Les avantages offerts par Magna sont énormes. Mon assurance santé couvre ma thérapie ainsi que mon ordonnance pour les médicaments contre la dépression et l’anxiété. Les programmes Magna de sensibilisation à la santé mentale m’ont aidée à faire disparaître les stigmates. L’entreprise était ouverte à ces questions et s’en préoccupait déjà avant la pandémie. »
Carol Bentley, cheffe de S. Tarasenko et Contrôleuse de gestion de Magna Services of America, l’a encouragée à demander de l’aide supplémentaire au cours de la pandémie.
Le fait de se teindre les cheveux en rose a également contribué à lui remonter le moral.
« J’ai toujours aimé changer de couleur de cheveux », affirme S. Tarasenko, qui était coiffeuse auparavant. « Je choisis des couleurs gaies et amusantes. Ça me rend heureuse. »
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